Elles nous donnent une belle leçon de développement personnel en termes de résilience , de détermination, de confiance en soi, de ténacité, écrit Cheikhna Mbouh Tandia sur compte Linked In, appelant à célébrer cet exploit académique.
. Rouane Bousso et Amina Sow mériteraient bien une décoration, une récompense pour cet exploit remarquable dans un système d’enseignement supérieur où mêmes les plus aptes peinent à aller au bout, écrit-il.
Elles sont diplômées de l’enseignement supérieur, malgré un handicap qui condamne souvent, pour ne pas dire toujours à la résignation , au renoncement , à l’effacement.
Le Ministère l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique MESRS / Mauritanie devrait célébrer cet exploit comme étant une réussite de l’enseignement supérieur classique mauritanien, poursuit Mbouh, selon lequel, il est aussi recommander d’« accorder des bourses à ces braves jeunes filles pour faciliter leur insertion professionnelle plus tard ».
« Université de Nouakchott Al Aasriya (University of Nouakchott Al Aasriya) devrait pouvoir ériger de ces deux lauréates en modèles d’inclusion de son système de formation, d’enseignement », poursuit Tandia, appelant également les acteurs économiques et autres partenaires à encourager l’éducation des jeunes filles en Mauritanie.
« Nos sincères félicitations encore et beaucoup de bienfaits pour la suite », écrit Cheikhna, remerciant « tous ceux qui contribuent à tracer des voies du possible », disant qu’un handicap ne doit jamais condamner au fatalisme sur les voies d’accomplissement personnel et professionnel de la vie: c’est la leçon qu’elles donnent, on la reçoit bien volontiers avec humilité
Avec Cheikhna Mbouh Tandia